En pleine expansion à travers l’Europe, le péage en flux libre (ou « free flow ») révolutionne la manière dont les automobilistes circulent sur les axes autoroutiers. Fini les barrières et les ralentissements : le système repose sur une lecture automatisée de plaques et de badges pour facturer les usagers. Mais cette modernisation soulève une problématique cruciale : la multiplication des opérateurs et des plateformes rend la gestion des paiements complexe. Onefreeflow propose une solution simple et innovante : un enregistrement unique pour tous les freeflows en France et en Europe. Une plateforme centralisée pour faire face à la fragmentation du marché et retrouver une fluidité... dans les paiements.
- Un seul compte pour tous les systèmes de péage à flux libre, en France comme dans le reste de l'Europe.
- Plus besoin de jongler entre multiples applications ou opérateurs locaux.
- Onefreeflow simplifie la vie des professionnels comme des particuliers sur la route.
Partie 1 : Le freeflow, une technologie en pleine expansion
Le système de péage à flux libre élimine les barrières physiques. Grâce à des portiques équipés de capteurs, caméras LAPI (lecture automatique des plaques d’immatriculation) et antennes RFID, les véhicules peuvent être identifiés et facturés sans s’arrêter. D’origine norvégienne ou chilienne, cette innovation est désormais adoptée sur plusieurs segments autoroutiers en France, comme sur l'A79 ou des portions de l'A13 en Normandie.
Mais à mesure que ces tronçons se multiplient en Allemagne, Espagne, Portugal ou encore Italie, un problème se pose : chaque opérateur applique ses propres méthodes de paiement et systèmes d’enregistrement. En France, par exemple, les sociétés autoroutières non concédées testent parfois plusieurs solutions simultanément. Résultat ? Les usagers doivent créer plusieurs comptes, vérifier leurs paiements dans différentes interfaces, ou même risquer des amendes s’ils oublient de régler à temps.
Partie 2 : Les défis pour les professionnels et les flottes
Pour les entreprises disposant d’une flotte de véhicules, cette construction par silos crée une charge administrative considérable. Factures dispersées, relances automatisées par les autorités locales, impossibilité de centraliser les dépenses par plaque… Autant de complexités lourdes à gérer. Un gestionnaire de flotte doit parfois se connecter à 5 ou 6 plateformes différentes selon les trajets de ses salariés ou livreurs.
Ajoutons à cela les différences juridiques : en Espagne ou en Italie, des délais différents s'appliquent pour payer ou contester un passage. En Belgique, certains freeflows concernent les voitures, d’autres uniquement les poids lourds. Une situation difficilement tenable pour une flotte internationale. C’est ici que Onefreeflow change la donne. Avec un seul portail d’inscription, toute la flotte est enregistrée auprès des opérateurs partenaires et suivie automatiquement quel que soit le pays traversé.
Partie 3 : Une solution automatisée, simple et européenne
Concrètement, comment fonctionne Onefreeflow ? L’usager (particulier ou gestionnaire de flotte) enregistre une ou plusieurs plaques d’immatriculation sur le portail. Une fois validé, chaque passage sous un portique partenaire est détecté automatiquement et rattaché au compte utilisateur. Plus de doute sur la plateforme à utiliser. Plus de majoration parce qu’un délai a été dépassé. Tout est unifié : facturation, historique des trajets, support client.
La solution repose sur une intégration avancée avec les principaux opérateurs autoroutiers et autorités de transport en Europe. Certains pays commencent à proposer un accès API aux données de passage. Onefreeflow agit comme un hub, connectant tous ces flux à une interface propre, claire et traduite en plusieurs langues. L’utilisateur peut recevoir une alerte quotidienne, hebdomadaire ou mensuelle. Il peut ajouter une CB, un prélèvement SEPA, ou relier un badge télépéage existant.
Partie 4 : Quels bénéfices pour les particuliers ?
On pourrait croire que seuls les professionnels sont concernés… mais c’est aussi une révolution pour les particuliers. Entre les vacances en Espagne, un trajet vers Bruxelles ou une escapade sur l’A79, il est facile d’oublier qu’un portique a flashé votre voiture. Trois semaines plus tard, une amende de 90 €. Avec Onefreeflow, plus besoin d’anticiper ou de vérifier chaque petit tronçon. Tout est centralisé, et les paiements peuvent être déclenchés automatiquement une fois validés.
De plus, les utilisateurs peuvent accéder à l’ensemble de leur historique : lieu, date, montant, plaque concernée. Idéal aussi pour partager une voiture familiale tout en gardant une trace claire de qui a effectué le paiement. Les frais sont transparents à chaque étape et le support client s’effectue dans la langue de l’utilisateur. Que l’on vive à Toulouse, Rome, Munich ou Lisbonne, l’expérience free flow devient (enfin) cohérente.
Partie 5 : Quels sont les pays couverts par Onefreeflow ?
En 2024, Onefreeflow couvre l’ensemble du territoire français, via les autoroutes à flux libre sur l’A79, l’A13, les périphériques d’Île-de-France en zone urbaine test, mais aussi certaines voies rapides à péage. À l’échelle européenne, les portiques en Espagne, au Portugal, en Italie, en Autriche, en Slovénie, en République Tchèque et au Danemark sont compatibles. D’autres accords sont en cours avec la Norvège, pionnière dans le domaine, ainsi qu’avec la Pologne qui équipe progressivement son réseau.
Une carte interactive est disponible sur le site pour suivre la couverture en temps réel. L’objectif ? Unifier l’expérience free flow sur tous les grands axes autoroutiers du continent d’ici 2026. Dans un contexte d’harmonisation du transport public, le modèle unique porté par Onefreeflow pourrait devenir un standard européen.
Conclusion
La promesse du free flow était simple : ne plus ralentir le trafic pour facturer un usage de la route. Mais sa concrétisation entraînait un éclatement des opérateurs et donc, une complexité pour les usagers. Onefreeflow redonne son sens à cette promesse en centralisant toutes les étapes dans une seule interface. Que l’on voyage pour affaires ou en famille, en voiture ou en camping-car, on n’a plus à penser aux péages : la technologie pense pour nous. Plus de confort, plus de fluidité… et moins d’amendes. Le free flow retrouve enfin sa liberté.
Toutes vos questions :
Puis-je utiliser Onefreeflow avec n’importe quelle voiture ?
Oui, tant que votre plaque d’immatriculation est lisible et enregistrée. Que ce soit un véhicule personnel, de location ou d’entreprise.
Quels modes de paiement sont acceptés ?
Carte bancaire, prélèvement automatique SEPA, badge télépéage compatible ou portefeuilles numériques selon les pays.
Y a-t-il un abonnement à payer ?
Non, l’enregistrement est gratuit. Des frais de service peuvent s’appliquer selon les pays ou l’usage professionnel.
Comment savoir si une autoroute est en free flow ?
Une carte de couverture est fournie sur votre compte. De plus, chaque trajet enregistré affiche le statut du tronçon traversé.
Onefreeflow vous prévient-il en cas de non-paiement ?
Oui, des alertes sont envoyées avant toute date limite de paiement afin d’éviter majorations et amendes locales.