Les autoroutes en France

Freeflow en Espagne : Révolution des Péages et Mobilité Fluide

Rédigé par Marc Bonespoire | Apr 21, 2025 8:30:00 PM

En 2025, l’Espagne s’engage dans une transformation majeure de ses infrastructures autoroutières avec l’essor des péages freeflow, un système sans barrières qui promet fluidité et modernité. Si le pays est connu pour son vaste réseau d’*autopistas* à péage, l’introduction de portiques automatisés, comme sur la N-I au Pays Basque depuis 2018, marque un tournant. Ce modèle, qui s’inspire de pionniers comme le Portugal, pourrait bientôt s’étendre à d’autres axes majeurs. Dans ce paysage en mutation, *OneFreeFlow* se positionne comme la clé pour naviguer facilement entre les freeflows espagnols et européens, offrant une solution unifiée aux conducteurs. Décryptage d’une révolution routière en cours.


Trois choses à savoir :
  • Premiers pas : La N-I au Gipuzkoa a lancé le freeflow en Espagne dès 2018, ciblant les camions.
  • Technologie clé : Les portiques scannent badges et plaques pour un péage sans arrêt.
  • OneFreeFlow : Une plateforme pour simplifier la gestion des freeflows en Espagne et au-delà.

Le freeflow en Espagne : un début prometteur sur la N-I

L’Espagne a fait ses premiers pas dans le freeflow en janvier 2018 sur la N-I, au Gipuzkoa (Pays Basque), avec un système inédit pour les camions. Géré par Bidegi, cet axe reliant Irun à Etzegarate utilise trois portiques pour détecter les véhicules lourds via leurs plaques ou badges RFID, sans barrières ni ralentissements. Ce projet, le premier du genre en Espagne, a réduit les embouteillages sur une route stratégique près de la frontière française, tout en générant des revenus pour l’entretien routier. En 2025, ce modèle inspire d’autres régions, comme la Catalogne, qui explore des solutions similaires.

Pour les usagers, le freeflow sur la N-I prouve son efficacité : moins de temps perdu, moins d’émissions, et une sécurité accrue grâce à l’absence de points de péage traditionnels. Mais il reste limité aux poids lourds et à une seule autoroute. *OneFreeFlow* élargit cette vision : avec un badge compatible avec la N-I et d’autres futurs freeflows espagnols, la plateforme anticipe une expansion nationale, tout en connectant l’Espagne aux réseaux européens comme Via Verde au Portugal.

"Depuis 2018, la N-I a vu une baisse de 20 % des temps de trajet pour les camions, un succès qui pousse l’Espagne vers plus de freeflow."

Technologie et badges : le cœur du freeflow espagnol

Le freeflow repose sur une technologie simple mais puissante : des portiques équipés de caméras et de capteurs identifient les véhicules en mouvement, via leurs plaques ou leurs badges télépéages Via-T. Sur la N-I, les camions enregistrés sont débités automatiquement, tandis que les autres doivent s’acquitter du péage en ligne sous 24 heures. Ce système, qui élimine les barrières, s’aligne sur une tendance européenne, mais l’Espagne doit encore harmoniser ses badges avec des réseaux voisins pour les conducteurs transfrontaliers.

C’est là que *OneFreeFlow* entre en jeu : un badge unique, compatible avec la N-I, les péages Via-T traditionnels, et les freeflows d’Europe (France, Portugal, etc.). En 2025, alors que l’Espagne envisage d’étendre le freeflow à des axes comme l’AP-7 ou la C-32, cette solution évite aux conducteurs de multiplier les abonnements ou de se perdre dans les systèmes locaux. Un pas vers une mobilité fluide et sans frontières.

"80 % des camions sur la N-I utilisent un badge Via-T en 2025, une adoption facilitée par des outils comme *OneFreeFlow*."

Vers une expansion nationale avec OneFreeFlow

Si la N-I reste un cas isolé pour l’instant, l’Espagne planifie une généralisation du freeflow. Après la fin des péages sur certaines *autopistas* (AP-7, AP-4) en 2021, le gouvernement étudie un système de péage au kilomètre basé sur la technologie freeflow, potentiellement via GPS ou portiques, pour financer l’entretien des routes. Des régions comme la Catalogne (C-32) ou l’Andalousie pourraient suivre, inspirées par le succès basque. *OneFreeFlow* anticipe ce virage en offrant une gestion centralisée dès aujourd’hui.

Avec *OneFreeFlow*, les conducteurs espagnols – particuliers ou professionnels – accèdent à un tableau de bord unique pour suivre leurs trajets sur la N-I, payer en ligne si besoin, et se préparer aux futurs freeflows. La plateforme intègre aussi des fonctionnalités transfrontalières, idéales pour les routiers reliant Irun à Lisbonne ou Barcelone à Paris. En 2025, le freeflow espagnol n’en est qu’à ses débuts, mais avec *OneFreeFlow*, il devient accessible et intuitif.

"*OneFreeFlow* a aidé 30 000 conducteurs espagnols à adopter le freeflow en 2025, un pont vers l’avenir routier."

En route vers demain

Le freeflow en Espagne, lancé sur la N-I et prêt à conquérir d’autres autoroutes, redéfinit la mobilité avec une promesse de fluidité et de durabilité. Si le pays tarde encore à généraliser ce système par rapport à des voisins comme le Portugal, les bases sont posées. *OneFreeFlow* accompagne cette transition, offrant aux conducteurs un outil pour maîtriser les freeflows actuels et futurs, en Espagne et en Europe. Une révolution silencieuse, mais bien en marche.

Vos questions sur le freeflow espagnol :

Où trouve-t-on le freeflow en Espagne ?

Pour l’instant, sur la N-I au Gipuzkoa pour les camions. D’autres axes comme l’AP-7 pourraient suivre.

Faut-il un badge sur la N-I ?

Pas obligatoire, mais recommandé. Sans badge, payez sous 24 heures en ligne ou via *OneFreeFlow*.

Le Via-T fonctionne-t-il partout ?

Oui en Espagne, mais pas toujours à l’étranger. *OneFreeFlow* offre une compatibilité européenne.

Quelles amendes risque-t-on ?

Sur la N-I, jusqu’à 200 € pour non-paiement. *OneFreeFlow* envoie des alertes pour éviter ça.

Le freeflow va-t-il remplacer tous les péages ?

Pas encore, mais c’est une piste pour financer les routes sans barrières fixes.